jueves, octubre 30, 2008

Jean-François Champollion

Las diez cosas que no sabias de Jean-François Champollion
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1 - Era de nacionalidad francesa.
2 - A los 5 años de edad aprendio a leer francés él solo.
3 - Comenzó a hablar griego y latín a los nueve años de edad.
4 - Comenzó a estudiar hebreo a los once años de edad.
5 - Comenzó a hablar árabe, sirio y arameo a los trece años de edad.
6 - A los ocho años fue a vivir a Grenoble, con su hermano Jacques-Joseph que le dio clases durante dos años, hasta que ingresó en el Liceo.

7 - Apenas un adolescente, consigue compilar un diccionario copto de 2000 páginas.
8 - En 1809, a los 18 años, es ya todo un profesor de historia en Grenoble, Francia.
9 - En 1816 desarrolla, con su hermano Jacques, un sistema de enseñanza primaria basada en monitores.
10 - En 1821 comienza a descifrar los caracteres de los jeroglíficos de la piedra de Rosetta
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Jean-François Champollion -
La Piedra de Rosseta (La pierre de Rosette)
bilingual-newspaper.blogspot.com - (Biografias)

''El número de los que nos envidian confirma nuestras capacidades. '' Oscar Wilde.

1 comentario:

  1. Jean-François Champollion dit Champollion le Jeune (né le 23 décembre 1790 à Figeac, dans le Lot et mort le 4 mars 1832 à Paris, inhumé dans la division 18 au cimetière du Père-Lachaise), est un égyptologue français. Déchiffreur des hiéroglyphes, il est considéré comme le père de l'égyptologie.

    Il disait de lui-même : « Je suis tout à l'Égypte, elle est tout pour moi ».

    Biographie
    Jean-François, dit le Jeune[1], appartenait à une famille originaire de Valbonnais en Dauphiné[2]. Son père, Jacques, était marchand ambulant de livres avant de se fixer à Figeac, d'ouvrir une librairie et d'épouser en 1773 Jeanne-Françoise Gualieu, fille analphabète[3] d'un notable local. Cadet de la famille, Jean-François avait 3 sœurs et un frère, son aîné de 12 ans, Jacques-Joseph.
    Éducation [modifier]
    Il entre à la veille de son huitième anniversaire à l'école primaire de garçons de Figeac puis il est pris en main par un prêtre, dom Calmels, qui avait été précepteur de son frère. S'il possède à 10 ans de bonnes bases en latin[4], son orthographe apparaît plutôt faible[5]. En mars 1801, il quitte Figeac pour aller vivre à Grenoble chez son frère qui se chargera désormais de son éducation.

    De novembre 1802 à 1804, Jean-François va être l'élève de l'abbé Dussert[6] et révèle son don pour les langues en s'initiant à l'hébreu et en acquérant des rudiments d'arabe. En mars 1804, il est admis au Lycée impérial de Grenoble (actuel Lycée Stendhal) qu'il fréquentera jusqu'en août 1807.

    C'est à cet époque qu'il se passionne pour l'étude des hiéroglyphes égyptiens et grâce à son frère Champollion-Figeac, il réussit à se procurer une copie des inscriptions de la pierre de Rosette, lesquelles avaient pour caractéristique d'être écrites en deux langues et trois écritures : en hiéroglyphes, en démotique et en grec. Comprenant que le déchiffrement de cette langue oubliée depuis des siècles passe par l'étude des langues voisines, il demande instamment dès octobre 1806 de pouvoir commencer ses études à Paris[7]. Le 13 septembre 1807, après soixante-dix heures de voyage en diligence, il arrive enfin dans la capitale pour étudier, entre autres, le copte et l'amharique. À cette époque, il écrit à son frère :

    « Je me livre entièrement au copte. Je veux savoir l'égyptien comme mon français parce que sur cette langue sera basé mon grand travail sur les papyrus égyptiens... Je parle copte tout seul. C'est le vrai moyen de me mettre mon égyptien dans la tête[8]. »

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